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Après la sortie de DISSIDÆNCE Épisode 1, chaleureusement accueillie par la critique comme par le public, Vitalic tient ses promesses et nous offre une suite plus techno et plus sombre que le premier volet, marquée par une esthétique industrielle froide et minimale. Une composition et une production brutes non sans rappeler l’héritage post-cold wave – ancré dans l’ADN du producteur depuis toujours – et désormais revendiqué plus que jamais.
DISSIDÆNCE Épisode 2 s’ouvre avec « Sirens », dangereuse tornade électronique et transpirante. Puis « Dancing in the Street », « The Void » & « Light is a Train prennent place, parfaits concentrés de techno épurée, alarmante, mécanique et froide. Face à cette hostilité, de jolis temps de respirations et de poésie avec « Marching », « Friends & Foes » et « Winter is coming » laissant place à la mélodie et à la mélancolie.
Un projet bicéphale dont Vitalic a le secret, entre énergie implacable et voyage cosmique étrange.